Pour leur troisième participation au festival Mai des arts organisé par la Ville de Lure et le centre culturel, les élèves du lycée Georges-Colomb, option EPS et l’AS danse, ont mis le cinéma à l’honneur.
À travers le festival Mai des arts, la Ville de Lure et le centre culturel ont cette ambition de mettre en lumière la pratique artistique et culturelle de jeunes, en mêlant à cet événement les établissements scolaires. Dans ce cadre, l’auditorium affichait complet ce lundi 6 mai pour le spectacle de danse et arts du cirque, des élèves du lycée Georges-Colomb.
Le cinéma à l’honneur
Et pour cette 3e édition, quoi de mieux que le 7e art pour partager des émotions. Et les acteurs ont concocté un joli programme. Durant près de deux heures, entrecoupées de l’entracte, les lycéens ont emmené les spectateurs dans différents univers cinématographiques. Les élèves option EPS sont montés sur scène les premiers. Ils ont revisité quelques films cultes, en art du cirque et danse. À commercer par « James Bond », « Greace », « Scoobydoo » mais aussi « Les bronzés font du ski », avec en voix de fond, quelques répliques de Jean-Claude Dusse, interprété par Michel Blanc, mais aussi le célèbre Brice de Nice.
Les personnages du célèbre réalisateur américain, Tim Burton
Les scènes se sont enchaînées avant de laisser la place aux élèves de l’AS danse. Le groupe s’est glissé dans la peau des personnages du célèbre réalisateur américain, Tim Burton : Edward aux mains d’argent, le chapelier fou, Willy Wonka ou Alice. Une chorégraphie sélectionnée pour le festival national de danse, qui se déroule fin mai, à Amiens. Chacun a trouvé sa place et a mené à bien ce show devant un public qui les a acclamés. Si certains lycéens montaient pour la toute première fois sur scène, d’autres étaient assez à l’aise. À l’image d’Eline Robert et Hélia Cornu, toutes deux en classe de première. Elles ont pris plaisir à « animer le public » et sont assez fières de leur prestation. « Cela fait près d’un an qu’on se prépare avec l’aide de nos professeurs de sport. Ça montre aussi qu’on arrive à se débrouiller toutes seules. »
